Le rendement pour le grain d’orge est composé de trois composants, dont le poids moyen du grain est le plus constant. La plupart des variations de rendement entre les sites et les saisons sont dues à des différences dans le nombre de grains plutôt que dans la taille des grains, avec une forte corrélation entre le nombre de grains par mètre carré et le rendement, mais seulement à une faible corrélation entre le poids moyen des grains et le rendement.
Le rendement élevé provient de l’atteinte des bons nombres d’épis/épillets et du maintien d’un feuillage vert et sain, ce qui augmente le nombre de grains par épi (épillet) et la taille du grain. Un programme équilibré de nutrition des cultures comprenant tous les macronutriments et les micronutriments est essentiel pour aider à gérer tous ces éléments. Au printemps, 30 à 35 % des glucides du grain proviennent de la feuille paniculaire et du pédoncule (tige), 25 à 45 % de l’épi et 20 à 45 % du reste du plant.
L’azote et le potassium sont les nutriments requis en plus grande quantité pour maintenir un rendement élevé d’orge. L’exigence de phosphate est semblable à celle du soufre. C’est pendant la croissance rapide au printemps que la demande la plus élevée pour tous les macronutriments se produit.
Le besoin en phosphate, quant à lui, est semblable à celui du soufre. C’est pendant la croissance rapide au printemps que la demande pour tous les macronutriments se produit.
Une stratégie de nutrition équilibrée des cultures est importante et devrait également comprendre des nutriments secondaires et des micronutriments qui sont essentiels à l’atteinte d’un rendement élevé. Comme pour les macronutriments, la demande sera élevée pendant les périodes de pic de croissance.
Des carences temporaires peuvent se produire lorsque les conditions du sol sont défavorables à la disponibilité des nutriments (p. ex., un sol froid, humide, sec). Connaître la teneur en nutriments par tonne de production est utile et peut être utilisé avec les niveaux de rendement comme base d’un plan de gestion complet des nutriments.
L’orge de printemps offre un rendement environ 20 % inférieur à l’orge d’hiver. Au printemps, 30 à 35 % des glucides du grain proviennent de la feuille paniculaire et du pédoncule (tige), 25 à 45 % de l’épi et 20 à 45 % du reste du plant.